Accueil > Actualités > Fête communale : un week-end très rythmé

Fête communale : un week-end très rythmé

mardi 23 juillet 2019, par Mairie


Des stages de danses africaines et de djembé entraînants, un feu d’artifice bien cadencé, une course cycliste menée à train d’enfer et une cavalcade animée par les percussions : Angy a vécu un week-end très rythmé pour sa fête communale.

Samedi 20 juillet 2019, une partie des participants du premier stage de danses africaines et de djembé se sont retrouvés dans la salle multifonction pour peaufiner ce qu’ils avaient appris la semaine précédente.

Les danseuses ont été prises en charge par Asséta Zoungrana, danseuse professionnelle et chorégraphe.

Amadou Koné et Souleymane Dembélé se sont occupés des apprentis percussionnistes.

Retrouvez ou découvrez un extrait du stage de djembé sur Youtube : https://youtu.be/ftVFWFuTBiI



En soirée, et c’était une nouveauté, le public a été invité à se diriger vers le stade Hector-Devos pour le spectacle pyrotechnique musical.


Cette année, c’est la société Pyrotech de Stéphane Ruet qui avait été retenue par le comité des fêtes.

Et ce choix s’est avéré judicieux au regard du spectacle offert.

Plusieurs centaines de personnes qui avaient pris place sur le terrain d’entraînement et dans le City stade ont été unanimes pour apprécier la qualité de la prestation.

Articulées autour de percutantes musiques de films, bombes et fusées se sont multipliées dans le ciel angylois pendant 12 minutes.

Retrouvez ou découvrez l’intégralité du feu d’artifice du samedi 20 juillet sur la page Facebook de la mairie : Mairie d’Angy.


Après les applaudissements mérités, le public est retourné en nombre sur la fête foraine.

Et les plus courageux ont pu danser grâce à un orchestre jusqu’à 2 heures du matin.

Dimanche 21 juillet, aux ordres d’Anny Debraine, présidente du comité des fêtes d’Angy, 77 cyclistes de clubs du Nord de la France à la région parisienne se sont élancés à 8 h 30 rue Aristide-Briand pour un nouveau Grand Prix d’Angy.

Les sportifs avaient 114 km à accomplir au fil de 20 tours de circuit sous la surveillance des Sauveteurs de l’Oise.

A nouveau aux manettes, les membres de l’AC Clermontois ont pour la seconde année tracé un parcours uniquement sur le territoire de la commune.

Point névralgique : le carrefour des rues Jean-Jaurès et Aristide-Briand où les coureurs passaient d’un côté puis de l’autre toutes les 3 à 5 minutes.

Très rapidement des échappés ont tenté leur chance.

Mais le peloton était sur ses gardes et les a absorbés.

Le public a même vu passer un bolide entrant dans une autre catégorie…

Cependant les initiatives ont continué à se produire, souvent à la faveur de la côte du cimetière prétexte au prix du meilleur grimpeur.

Pendant ce temps, une équipe du comité des fêtes s’est employée à préparer plus de 120 en-cas à servir aux personnes mobilisées pour la cavalcade.

Progressivement, la foule s’est pressée au carrefour afin de juger de l’évolution de la course.

Des dizaines de spectateurs ont assisté au dernier passage des coureurs.

Et au prix d’un bel effort, Gérald Monnier, de l’OC Val-d’Oise, a fini en solitaire.

Il a été applaudi par un public très imposant à l’arrivée.

Aussitôt, Michel Petitmartin, le speakeur de France bleue qui a remarquablement commenté toute la course, a recueilli les impressions du vainqueur.

Sur la ligne, le speakeur a continué à interviewer d’autres coureurs.

Anny Debraine, présidente du comité des fêtes, a remis la coupe au gagnant.

Les deuxième et troisième, Cédric Michel (Le Bourget, à dr.) et Florian Discontigny (Aubervilliers, à g.), ont aussi reçu coupes et bouquets.

Les organisateurs n’ont pas oublié Mélanie Labeyrie (Team Macadam’s cow-boys), seule féminine inscrite au départ, qui a terminé l’épreuve.

Dernier récompensé, Alexis Hoffmann (Parisis AC 95) a reçu le trophée du meilleur grimpeur.

Articulée autour du thème de « La nature », la cavalcade a démarré du bout de la rue Aristide-Briand côté Hondainville à 14 h 30, emmenée par deux jardiniers et les vendeurs de confettis. Signalons que les possesseurs des tickets de couleur marron aux numéros 27 et 82 ont remporté respectivement une carte-cadeau à 50 € et une carte-cadeau à 25 €.

Les cornemuses de Hombleux dans leur tenue traditionnelle ont ouvert la marche avec leurs sonorités si particulières.

Une douzaine d’enfants ont participé au concours des vélos fleuris, et si certains se distinguaient des autres, tous ont gagné autant de tickets de manèges pour avoir accepté de participer à l’épreuve.

Sanglés dans leur tablier, les Jazzdiniers de Clamart ont distillé des standards de jazz tout au long du parcours.


Le premier char était celui du jardin avec sa cabane et ses cageots de fruits et de légumes.

Créée voici à peine deux ans, l’association de Bailleul-sur-Thérain « Les Pépites d’or » a présenté ses majorettes…

…lesquelles étaient suivies par un groupe de petites Pom Pom Girls.


Le deuxième char symbolisait la mer avec ses parasols et ses transats.

Infatigables, les membres de la batucada Sam’Bagages de Beauvais n’ont pas arrêté de marquer la cadence.


Le cortège se terminait avec le char de la jungle qui transportait Amadou Koné, artiste, et ses musiciens accompagnés par des membres des deux stages de djembé programmés à Angy.

Les joueurs de djembé donnaient le rythme au groupe de femmes angyloises qui ont appris une chorégraphie de danse africaine grâce à la danseuse professionnelle et chorégraphe Asséta Zoungrana.

Durant un défilé qui a pris son temps, les groupes n’ont pas manqué de multiplier les haltes pour livrer une prestation aux spectateurs.

De retour sur la place du village, les majorettes de Bailleul-sur-Thérain se sont produites au milieu des manèges.

De même, Asséta Zoungrana a exécuté une danse africaine.

Au final, les danseuses ont posé avec les musiciens pour une photo de groupe.

Partager